• Comme le fleuve qui coule : Récits 1998-2005

                 Dans ce livre, Coelho distille sa philosophie de la vie au travers de divers textes. Récits vécus, inspirés de fais réels, religieux ou réflexions sur des évènements précis ou non, tous son très personnels.

            Ceux qui apprécient Coelho depuis lontemps seront heureux d'en savoir plus à propos sa vie, de son quotidien ou de tel ou tel évènements.

            Malgré toute la sympathie que je porte à l'auteur, je trouve l'ouvrage trop fragmenté et pas toujours cohérent... Il ne m'a pas autant séduite que ses merveilleux romans philosophiques...

    A feuilleter de temps en temps...

     

    Du même auteur : Onze minutes, La sorcière de Portobello.

    Site de l'auteur

               

                                                                                                             LF.

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  • Fiche technique :

    Date de sortie : 04 Janvier 2006 <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Réalisé par Andrew Niccol<o:p></o:p>

    Avec Nicolas Cage, Ethan Hawke, Jared Leto<o:p></o:p>

    Film américain.<o:p></o:p>

    Genre : Drame, Action, Thriller<o:p></o:p>

    Durée : 2h 2min.  <o:p></o:p>

    Année de production : 2005<o:p></o:p>

    Interdit aux moins de 12 ans

     

                      Une plongée dans l'univers des armes... trés réussit, trés cynique, et qui semble - malheureusement - bien réaliste. Que vous soyez amateur d'action ou de réflexion, vous serez comblé par se long métrage. Le film laisse forcément une trace, fait réflechir aux conditions qui dirigent nos vies, aux conditions nécessaires pour mener des guerres bien inutiles, pour "armer les autres". Car c'est bel et bien l'objectif du personnage qu'incarne Nicolas Cage - avec brio ! - : Armer ceux qui ne le sont pas encore...


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  •                       Dans cet ouvrage, Shan Sa nous fait découvrir la suite des évènements de Porte de la paix célèste. Qu'est devenue la jeune Ayameï, leader de la révolte de Tien An Men ? S'en est-elle sortie ? A-t-elle refait sa vie ?

                L'ouvrage s'ouvre sur l'étrange Jonathan Julian? Agent de la CIA ? Du FBI ? D'une organisation pro ou anti gouvernementale ?

               Comme prévu, les protagonistes se rencontrent et entament une relation amoureuse. Mais les apparences sont parfois trompeuses. Et on ne sait jamais vraiment à qui l'on a à faire...

               Ceux qui ont apprécié le talent de Shan Sa seront enchantés de retrouver son style simple, élégant et efficace. On a le plaisir de voir le talent de l'auteur évoluer et se bonnifier avec le temps ! Elle déroule sous nos yeux un triptique intelligement mis en scène.

    Rebondissements, suspens et coups de théâtre sont au rendez-vous dans une intrigue trés bien menée. Enfin, les principaux protagonistes sont dépeind de main de maître !

                                                                                     LF.

    Un avis différent !

    Du même auteur : Porte de la paix Céleste

     


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  • De l'Orsenna pur coton

    par Jean-Michel Barrault
    Lire, juillet 2006

     La mondialisation expliquée par les voyages: bravo!

    Erik Orsenna n'a pas oublié sa formation d'économiste. Mais, lorsqu'il veut illustrer les aspects bénéfiques et maléfiques de la mondialisation, loin de s'enfermer dans les bibliothèques et de nous assommer de statistiques, il parcourt le monde. Thème du voyage, le coton, un textile millénaire qui représente 40% de la production mondiale, une matière première comme le pétrole, le fer ou le cuivre: «Chaque matière première est un univers avec sa mythologie, sa langue, ses villes, ses habitants.» Pour nous en parler, Orsenna se rend au Mali, aux Etats-Unis, au Brésil, en Extrême-Orient, en Egypte, partout où la fibre prospère, se transforme, se tisse. Avec la liberté d'esprit, la curiosité et l'humour qui concourent au charme de cet écrivain, il enquête, rencontre les uns et les autres. A Washington, il conseille de s'asseoir sur un banc, face à l'entrée de la Banque mondiale, «la plus sévère des écoles de la modernité». Il est cruel pour le banquier mondial et «sa passion d'avoir raison en tout, toujours et partout".      

     

    Comment les Maliens, dont la culture du coton repose sur des sortes de coopératives à base familiale, résisteront-ils à ceux qui prônent la privatisation? Comment se protégeront-ils contre les prix imposés par les cultivateurs du Texas avec leurs exploitations de plusieurs milliers d'hectares archimécanisées, irriguées par les subventions distribuées par le Congrès grâce à un puissant lobbying? Au Mato Grosso, les immenses champs de coton font chaque année reculer la forêt amazonienne. Le paysan ouzbek vit sous la contrainte d'un régime dictatorial. Mais c'est en Chine que prospère la plus inquiétante illustration de la mondialisation. A Datang, au sud de Shanghai, douze à treize mille entreprises familiales, aidées par les crédits encouragés par l'Etat, tissent, repassent, exportent des chaussettes. Horaires: douze heures par jour, sept jours sur sept. Salaire: cent euros par mois, nourri et logé (en dortoir). Les chiffres de la production donnent le vertige: des milliards chaque année, «jusqu'à douter que l'humanité ait assez de pieds pour enfiler autant de chaussettes». Le voyage s'achève dans les vallées des Vosges, en interrogeant les patrons des entreprises textiles qui s'efforcent de survivre. Pour combien de temps? Le voyage d'Erik Orsenna est riche d'enseignements. Ce livre est passionnant. Il est surtout terrifiant.

     

    J'ai trouvé cet article trés intéressant... et puis... j'ai tellement aimé cet ouvrage passionnant que je souhaite vous le faire découvrir par différents moyens !

     

    Pour en savoir plus sur Erik Orsenna

     


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  •                                                               

    Une voix magnifique, enivrante et envoutante. Une musique relaxante et des paroles qui ne manquent pas de sens... C'est mon coup de coeur du mois !!! Si vous aimez le jazz et le talent modeste, n'hésitez pas !!!


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