• Ce soir, j’ai regardé l’émission de Laurent Ruquier, « On n’est pas couché », et j’ai eu l’occasion d’entendre une phrase magnifique :

    <o:p> </o:p>

    « Un arbre qui tombe fait plus de bruit

    qu’une forêt qui pousse »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C’est Abd Al Malik qui l’a prononcé. Je ne sais pas si elle est de lui ou s’il l’a empruntée, mais je la trouve vraiment, simplement, évidemment superbe.

    <o:p> </o:p>

    J’aime beaucoup entendre parler cet artiste. Je trouve que son discours, sa philosophie, son intelligence « fait du bien ». Il redonne l’espoir sans user d’idéologies douteuses, il redonne l’envie sans user d’affabulations trompeuses. Il ne prend jamais son interlocuteur pour un imbécile, il s’adresse toujours à notre intelligence, et c’est vraiment agréable…

    Bravo Abd Al Malik !<o:p></o:p>


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  • Cette semaine, j'ai eu un peu de temps libre pour surfer sur les forums...et je suis tombée sur ça.

     

    J'ai répondu un peu vite, comme on le fait sur les forums, et puis, j'ai repensé aux bouquins qui m'avaient vraiment marqué.

     

    Bon, en tête de liste, je laisse Le petit prince de Saint Exupéry car c'est vraiment LE bouquin qui symbolise toute ma jeunesse. C'est grâce à ce bouquin là que je me suis fait ma propre "morale". Je le conseille à tous les parents qui ont envie d'ouvrir un peu le regard et l'esprit de leurs enfants.

     

    Ensuite, il y a Connaissance point 1. C'est un roman philosophique, avec la même théorie que L'empire des Anges de Werber. Je ne pense pas qu'il y ai eu plagiat... Juste que certains esprits se rencontrent.

     

    Et puis, il y a Candide, de Voltaire. Je devait avoir 13 ou 14 ans quand un prof de français nous a obligé à le lire - entre parenthèse, j'insiste sur le mot "obliger" car je trouve ça aberrant qu'on oblige les gamins à lire au lieu de leur donner envie... . Bref, je pensais que ça allait être super barbant... Et ça à été une des plus belles surprises de mon passage au collège !

     

    Dans la série aventure, Le tour du monde en 80 jours a été une sorte de révélation ! C'est encore l'ouvrage que je considère comme LE meilleur en matière d'aventure (même si j'en ai pas lu beaucoup!).

     

    A peu prés à la même époque, j'ai lu Des cornichons au chocolat. C'est l'histoire d'une ado mal dans sa peau... Alors forcément, on s'identifie ! Quelle ne fut pas ma surprise en apprenant, il y a peu, que le véritable auteur était Philipe Labro !!!

     

    La gloire de mon père et Le château de ma mère de Pagnol m'ont aussi beaucoup marqué. C'est peut-être un peu parce que je viens du Sud !

     

    Un peu plus tard, (au lycée), j'ai "rencontré" Maupassant avec Bel Ami et je me suis jetée sur Une vie tout de suite aprés ! Romans classiques toujours d'actualité ! Y a qu'à voir le succès de Desparate House Wive's (de trés grande qualité) et des séries Made in USA ou les "Bels Amis" sont sureprésentés !

     

    Je n'ai jamais réussit à accrocher et à finir paisiblement un Zola... Seul exception qui confirme la règle : j'ai adoré Nana. Je crois que c'est la première fois que je lisais un "gros bouquin" d'une traite ! Je n'avais plus l'impression de lire du Zola !!!

     

    "Les dames du lac" de MZ Bradley est la seule légende Arthurienne que je veuille bien croire ! (Avec celle l'Alexandre Astier de Kaamelott, évidemment!).

     

    Et enfin, deux bouquins m'ont énormément marqué, sans que je soies capable de me rappeler à quel moment je les lu ! L'alchimiste et Huis Clos ! Rien avoir ? Pas vraiment... C'est deux façons complémentaires de voir la vie !

     

     

    Bon, il faut que je m'arrête là car plus j'en cherche et plus j'en trouve !!! C'est sans fin.

    Mais avant, je dois mentionner un livre dont je ne me souviens pas le titre. c'est l'histoire d'une jeune fille qui fait des crises d'épilepsie. Elle en parle pendant tout le bouquin sans dire que c'est de cela qu'il s'agit...On ne le comprend qu'à la fin, quand elle en fait une devant tous ces camarades de classe... Si quelqu'un le connaît... qu'il me rappelle le titre svp !

    Allez-y, à vous ! Quels sont les livres qui vous ont marqué ?

     


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  •           Enfermez un homme affaibli dans une pièce sombre. Accompagnez le d’un femme obèse, sadique et mystérieuse. Affublez le d’un humour noir, caustique et d’un cynisme à toute épreuve. Equipez le de stylos est de papier. Vous obtenez Corpus Christine.  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

         L'ouvrage commence comme un bon thriller à l’américaine. Les personnages se dévoilent petit à petit pour se révéler entièrement dans les dernières pages de l’ouvrage.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

         Le roman est noir – ou rouge sang, selon la sensibilité du lecteur. L’écriture est travaillée, torturée mais très « littéraire ». Le récit est prenant. <o:p></o:p>

    Grande prouesse de l’écrivain : l’humour ! Malgré une histoire ô combien tragique, Max Monnehay réussit parfois à nous faire rire !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

         Et pourtant…<o:p></o:p>

       Il me semble qu’il manque un petit quelque chose à cet ouvrage. Incapable de vous dire quoi… Le fait est que je n’ai pas accroché jusqu’au bout, j’ai eu beaucoup de mal à le finir, même si j’avais très envie de savoir comment cette sale histoire allait finir !

     

                                                                                LF.

     

    Lire l'interview de Max Monnehay sur EVENE

     

     

     

     

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  • "La vie ne position horizontale était seule supportable mais s'avérait souvent compliquée. Des actions du quotidien qui paraîtraient anodines aux individus verticaux prenaient pour moi figure de prouesses. Aprés élaboration d'une stratégie et mise en place des dispositifs adéquats, j'observais une phase de concentration qui pouvait dépasser des temsp infinis. L'affaire n'était pas bénigne : c'était de ma survie qu'il s'agissait."

     

    "La ville se couche sur nous, tremblante et épuisée, elle tombe sur nos têtes tournées vers le ciel qui tire à lui la nuit encore timide. Nous sommes assis tous les deux sur le banc le plus ordinaire qui soit, rugueux aux doigts, dur aux fesses, un banc qui en a vu de toutes les tailles, de tous les âges et par tous les temps. Cette obscurité qui joue l'effarouchée et ôte ses habits de jour comme une apprentie effeuilleuse, lentement, maladroitement, je l'aime. J'aime la dilatation du temps depuis que j'aime cette fille."

    Max Monnehay


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