-
Imaginez un objet qui traverse huit récits et trouve chaque fois sa place au cur dune histoire différente
Imaginez encore que cet objet soit une boisson dont les multiples parfums évoquent lamitié ou lamour, les souffrances de la vie ou sa magie
Imaginez enfin que ce breuvage soit une plante. Du thé, que sept héroïnes ont bu ou boiront à une étape essentielle de leur existence.
Maintenant, choisissez votre parfum et savourez votre thé : au citron ou à la bergamote ? Thé de Chine ou de Ceylan ? Peut-être que ce thé à la menthe aura votre préférence, ou bien celui au jasmin ? À moins que le thé russe ne lemporte ou, pourquoi pas, ce thé de Noël
votre commentaire -
-
<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
Je l’ai beaucoup, beaucoup attendu, ce dernier « Gavalda »… Peut-être un peu trop même !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Charles, la quarantaine, mène une vie un peu trop paisible malgré les voyages et les péripéties que lui imposent son travail et sa petite famille… Il vit au milieu de souvenirs et d’espoir tantôt flous tantôt évident. Mais sa vie bascule lorsqu’il apprend le décès d’un figure marquante de son enfance. Qui est cette « Anouk » qui le perturbe tant depuis son départ ?<o:p></o:p>
On suit alors le parcours d’un homme qui part à la recherche de ses origines, de son passé, qui veut retrouver le goût doux-amer de son enfance et de son adolescence, et qui, dans le même temps, cherche à se reconstruire un avenir.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Charles, le personnage principal a les contours flous et devient attachant au fil des pages, comme souvent chez Anna Gavalda. Sa personnalité se forge, s’émiette et se recrée au fil du récit. Les personnages secondaires (vivants ou non…) sont bien plus charismatique que notre héros ! Cela conduit parfois à effacer l’importance de Charles et il se perd (un peu comme le lecteur) dans le dédale de ses souvenirs et de ses rencontres.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
J’ai trouvé l’écriture très « inégale » tout comme l’histoire… De grands moments d’émotions sont suivi de longs moments de descriptions, d’explications où je me suis un peu ennuyée. [Je ne m’attendais pas à cela dans un roman de Gavalda…] Mais je suis contente d’avoir tenu bon car la fin (les 70 dernières pages) est vraiment excellente.<o:p></o:p>
En bref, je suis un peu déçue de m’être jetée sur la « belle version » ! J’aurai mieux fait d’attendre la « version poche »… Mais peut-être espérais-je trop de ce roman, et la déception est souvent le fruit de trop grandes espérances…<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
D'autres avis : Philippe, Cuné, pas forcemment plus positif que moi... Désolée Anna !<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
Du même auteur : Je l'aimais, Ensemble, c'est tout<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3 commentaires -
-
Bon, j'ai encore beaucoup de retard sur la mise à jour de mes billets...
Mes comentaires "en attente", comme Sauve-moi de Musso (décue...) ou Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dite de Levy (enchantée !) seront en ligne prochainement !
Alors, à bientôt !!!
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires