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    Petit opus illustré ! A lire de toute urgence pour celles et ceux qui s'insurgent face aux visages déprimants des "conseillers de vente" des grandes enseignes culturelles !!! L'auteur y raconte, tout en illsutrations, comment elle a "cru devenir libraire" ! Un petit bijou de la littérature illustrée ! Au même titre que Ma vie est tout à fait fascinante d'ailleurs paru dans la même collection (à suivre). Vous pouvez continuer l'aventure sur le blog de Leslie Plée !

    Régalez vous bien !


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  • Quatrième de couverture  :  Fin, une jeune journaliste de Sydney, fatiguée de sa vie citadine et des faits divers sordides, saisit l'occasion qui lui est offerte de couvrir une expédition scientifique en Antarctique. Ce désert blanc, le plus inhospitalier de tous, continent de légendes et de souffrances, n'est-il pas l'une des dernières frontières de notre monde ? Durant la traversée, elle apprend à vivre dans la promiscuité du bateau, dans cette micro-société cosmopolite et essentiellement masculine où le regard de l'autre prend une importance considérable. Le monde clos du bateau et des campements a ses règles et ses tabous que Fin met à mal lorsqu'elle tombe amoureuse. La vie sur le continent sauvage se révèle à la fois dure et enthousiasmante, âpre et enrichissante. L'immensité nue et grandiose de la glace la pousse à se défaire de tout ce premier roman. Nikki Gemmell trouve les mots justes pour exprimer une émotion vraie, celle d'une jeune femme bouleversée qui, douloureusement, va apprendre qui elle est.

     

     

     

    Fin se lance dans une grande aventure pour échapper un peu à son quotidien. Journaliste radio, sa vie est rythmée par les ondes radios de la police et les fais divers. Lorsqu’on lui propose de partir en reportage pour l’Antarctique, elle y voit une belle opportunité à la fois professionnelle et personnelle. C’est en effet l’occasion de découvrir des univers totalement nouveaux. La traversée en bateau, huis clos où l’intimité prend un tout autre sens ; puis l’arrivée dans ce paysage lunaire et sans âge… La promiscuité, la solitude, les railleries des compagnons (qui n’aiment pas particulières les journalistes fouineurs) mais aussi l’intensité du voyage, la chaleur de se sentir au sein d’une communauté, la sensation de vivre une expérience totalement inédite, aideront Fin à mieux se connaître. D’autant que la traversée lui réserve bien des surprises… Tout comme son retour à la « vie réelle ».

     

    Le début du roman est un peu « plat » mais bien rythmé par des allers-retours temporels. Ce sont les préparatifs, nous ne sommes pas encore entrés dans le vif du sujet, mais cela nous permet d’appréhender tranquillement le personnage de Fin. On s’attache rapidement à ce personnage « Madame tout le monde » qui s’apprête à vivre un expérience hors du commun. Et une fois l’histoire lancée, on va de surprises en surprises… de façon très lente et très posée, étrangement. Comme si l’auteur avait voulu nous transporter au même rythme que le bateau et ses passagers…

     

    J’ai retrouvé avec plaisir le piquant et l’humour que j’avais tant aimé dans La mariée mise à nue. Dans Traversée, le style de Nikki Gemmell varie en fonction de l’état moral de son héroïne. Tout est fait pour le lecteur s’imprègne facilement mais profondément de l’univers dans lequel l’auteur veut l’entraîner. Seul léger bémol : certains personnages sont abordés très vite et lorsqu’on les croise à nouveau au cours du récit, on ne sait plus très bien qui ils sont. Mais l’impression qui domine en refermant les pages est tout à fait à la hauteur de mes espérances : à la fois surprise et charmée !


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    J'ai eu un gros coup de coeur pour Charlie Winston lors de son premier passage à TARATA  

    il y a plusieurs mois déjà ! Mais comme j'ai très mauvaise mémoire, j'avais surnommé le loustik "Le hooboo". Bien décidée à découvrir cet artiste, je cherchais d'autres titres sur le web, et à ma grande surprise, j'ai découvert qu'il passait dans le coin (et pour pas cher Clin d'oeil !)


    Quelle surprise !!! Quel Bonheur !!! Quel merveilleux Live !!!

     


    Non content de pondre des mélodies entrainantes comme Like hobo, c'est aussi une bête de scène, un clown, un personnage attachant qui montre tout sa sensiblité lors d'un "solo voix/piano" envoûtant et qui sait passer du coq à l'âne pour notre plus grand plaisir !

     

    Alors depuis, forcément, je l'écoute en boucle !!! Allez, encore un petit coup pour la route :

     

     

    Allez, encore un, pour le plaisir !!! 

     

    A savoir qu'il a pour musciens ces gars là : Medi and the medecine show

    Ils ont fait sa première partie au Théâtre Lino Ventura (Nice) ! Une autre grosse surprise de la soirée !!!

     


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  • Quatrième de couverture : Quand il débarque à Paris par un froid matin d'hiver, Harry Ricks est au fond du trou. Une récente série de désastres personnels l'ont poussé à quitter précipitamment les États-Unis et la ville Lumière est sa dernière chance de refaire sa vie. Hélas ! La réalité est bien loin des cartes postales. Fauché, échoué au fin fond du Xe arrondissement, logé dans une chambre de bonne crasseuse du faubourg Saint-Martin, notre Américain à Paris a bien du mal à joindre les deux bouts entre un boulot minable et l'hostilité des habitants du quartier. C'est alors qu'il fait la connaissance de Margit, une belle et mystérieuse hongroise. Bientôt, Harry succombe à une passion dévorante pour cette femme sensuelle et plus âgée, à qui il ne tarde pas à raconter tous ses secrets. Sa vie va soudain prendre une tournure inattendue...

     

    Lorsqu’il arrive à Paris, Harry pense ne plus rien avoir à perdre. Sa femme l’a mis à la porte, sa fille lui a tourné le dos, il a perdu son travail, sa « situation professionnelle » et sa crédibilité d’enseignant… La seule chose qui lui reste : son manuscrit encours ! Mais ce n’est pas encore un « auteur publié », loin s’en faut. Bref, un avenir bien noir, bien vide s’offre à lui et il espère que Paris lui donnera l’inspiration créatrice nécessaire à l’écriture de ce livre ambitieux ! 

    C’était sans compter sur les rencontres et les circonstances rapidement aggravantes qui peuplent les Bas-fonds de la capitale Française… Harry Ricks va être au centre de bien plus d’attention que ce qu’il espérait. Ce séjour qui était censé être paisible et ressourçant va vite se transformer en cauchemar… Heureusement, que Margit veille. Elle lui apporte douceur et chaleur, loin des problèmes insolubles auxquels il est confronté. A moins qu’elle ne devienne elle aussi source de soucis…

     

    Bien écrit, l’histoire me semblait plutôt attractive, et pourtant, je me suis vraiment ennuyée à certains moments, comme pour L’homme qui voulait vivre sa vie, alors que le sujet m’intéressait. Verdict : Douglas Kennedy ne fait partie de mes auteurs à lire et relire… tant pis !

     

    PS : si l’une ou l’un d’entre vous peux me conseiller un de ces ouvrages, disons, plus « mouvementé » ou plus classique, je suis quand même preneuse ! Merci !

     

     


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