• Quatrième de couverture : Le 15 janvier 1947, dans un terrain vague de Los Angeles, est découvert le corps nu et mutilé, sectionné en deux au niveau de la taille, d'une jeune femme de vingt-deux ans : Betty Short, surnommée "Le Dahlia noir" par un reporter, à cause de son penchant à se vêtir totalement en noir. Le meurtre est resté l'une des énigmes les plus célèbres des annales du crime en Amérique. Quarante ans après, James Ellroy s'est penché sur l'affaire Betty Short et lui a donné une solution romanesque, qu'il dédie à sa propre mère, elle-même assassinée le 22 juin 1958. "Le thriller à lire, le "shocker" pour lequel les autres écrivains seraient prêts à tuer pour l'avoir écrit, est le prodigieux Dahlia noir de James Ellroy." "Si Ellroy exorcise son passé, c'est en maître écrivain qu'il le fait, et si l'histoire de sa vie explique la noirceur de son oeuvre, elle laisse intacte la lumineuse limpidité de son talent." "On ne sort pas intact de la lecture du Dahlia. Avec son style coup-de-poing-dans-la-gueule, le roman d'Ellroy correspondrait sans doute à ce qu'entendait Gide par littérature. En refermant ce livre, le lecteur n'est pas dans l'état où il se trouvait en l'ouvrant."


    Ellroy a l’art de poser ses personnages ! (Enfin, si l’on peut dire…) Il faut attendre une centaine de pages pour commencer à entrer dans l’histoire du fameux Dahlia Noir… Les deux flics qui sont au centre de l’ouvrage, Blanchard et Bleichert ( le narrateur) ont donc droit à de longs portraits « en action » : leur rencontre, leurs combats ( de boxe en l’occurrence) et la formation de leur « duo »… qui se transforme en trio en privé…


    Mais malheureusement, une fois entrées dans l’histoire – l’enquête sur le Dalhia –  j’ai fini par m’ennuyer, donc j’ai lâché le livre… Le style est un peu étiré, Ellroy s’attarde sur des détails qui ont très certainement leur importance, mais qui m’ont semblé s’éloigner de ce qui m’avait conduit à emprunter le livre…


    Je me contenterai du film, qui par ailleurs est assez bon (et puis, j’adore Scarlett Johansson !)


    votre commentaire

  • Une jeune femme à qui la vie paraît avoir souri jusqu’à présent, écrit ses adieux à son mari (bientôt « ex ») et à sa fille chérie. Il semble qu’elle veuille changer de vie, bazarder tout ce qu’elle a construit, mais pour cela, elle doit d’abord donner quelques instructions à ses proches…  

    Une fois arrivée à destination, elle commence à enregistrer une bande pour raconter sa nouvelle vie à Midge, une de ses meilleures amies apparemment. On découvre alors que Sarah a décidé d’intégrer un groupe de vie et de travail bien particulier… Mais je vous laisse le soin de découvrir lequel, il faut que le suspens reste entier !


    Cela n’est pas très clair ? Le début du livre nom plus. Composé de lettres plus ou moins longues et de « retranscriptions d’enregistrement vocaux », l’intrigue de l’ouvrage se déploie lentement mais surement, et je ne m’attendais pas à entrer dans l’univers particulier de ce genre de « communautés » en empruntant « S ».


    J’avais très envie de lire Les sorcières d’Eastwick, mais il n’étais pas disponible… Je me suis donc rabattue sur « S » pour tester le style de l’auteur.  J’ai aimé le style et l’originalité de la mise en forme mais le récit de Sarah m’a lassé trop rapidement et je n’avais pas forcément envie de me lancer dans ce genre d’histoire.


    votre commentaire
  • <o:p> </o:p>

    Quatrième de couverture : Elle est libre. Elle offre son corps sans façons. Et pourtant, à chaque histoire d'amour, elle s'affole et s'enfuit toujours la première. Il est ardent, entier, généreux. Mais les femmes qu'il célèbre s'étiolent les unes après les autres. Ces deux-là vont s'aimer. Il y a des jours, il y a des nuits. Le bonheur suffocant. Le plaisir. Le doute. L'attente. Mais en eux, invisibles et pesantes, des ombres se lèvent et murmurent : "J'étais là avant." Des mères qui les ont aimés ou trahis, qui ont rêvé, souffert, espéré. Des mères qui vivent encore en eux et les empêchent d'aimer. On n'est jamais tout seul dans une histoire d'amour. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. J'étais là avant est le roman d'une femme qui se libère de ses démons. Qui nous libère de nos démons...<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’avais bien aimé Les yeux jaunes des crocodiles, donc j’ai voulu découvrir ce que Pancol avait écrit avant son Best-Seller… Et je crois que je n’ai pas choisi le plus approprié pour cela. Avec J’étais là avant, je m’attendais à une histoire d’amour légère et une intrigue adultère… Pas du tout ! <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’héroïne est une femme assez antipathique qui a du mal à ressentir et à exprimer des émotions. Elle a pour habitude de rejeter les hommes qui approchent de trop prêt son intimité. Au fur et à mesure, on apprend que cela vient sans doute de la façon dont sa mère traitait ses prétendants sous les regards amusés ou inquiets de ses enfants. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La construction du roman est assez originale : Pancol mêle passé et présent, réflexions générales et explications précises des faits, souvenirs de femme et souvenirs de jeunesse… Et surtout, le futur prince charmant (?) prend parfois la parole ! Cette originalité n’aurait pas été pour me déplaire si Pancol ne s’était pas autant étendue sur ses souvenirs d’enfances, sur des détails qui deviennent, à force, des longueurs et si le style avait été plus fluide…<o:p></o:p>

    Mais peut-être n’ai-je pas ouvert ce livre au bon moment… Je retenterai ma chance plus tard, peut-être !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


    votre commentaire
  • <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Quatrième de couverture : La célèbre détective privée Regan Reilly et son fiancé Jack, chef de la brigade des enquêtes spéciales, vont enfin se marier. Mais l'atelier des stylistes qui confectionnent la robe de Regan est cambriolé. Elle se lance aussitôt à la recherche du coupable. A l'autre bout de la ville, Jack s'intéresse à une série de hold-up, qui, sans qu'il le sache, sont liés à l'affaire de Regan et risquent de compromettre leur mariage. Carol Higgins Clark nous entraîne dans une folle course contre la montre, des beaux quartiers de Park Avenue aux casinos d'Atlantic City. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Donc, Regan Reilly doit se marier avec Jack, policier rencontré lors de sa dernière enquête.

    Mais quand elle entre chez son couturier pour essayer et ajuster sa robe une dernière fois, celle-ci a été volée ! Toutes les robes de son styliste ont été dérobées : un cambriolage tragique et cruel pour toutes les mariées dès lors déshabillées ! Ce sera donc une nouvelle affaire à suivre pour Regan, détective privée : retrouver sa robe et accessoirement celles des autres fiancées !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le suspens ne dure pas très longtemps puisque un chapitre sur deux est consacré aux conséquences du cambriolage pour les deux voleurs qui ont commis cet « atroce » crime.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Bon, je ne m’attendais pas à lire un chef-d’œuvre, mais à me divertir ! Et pourtant, je n’ai pas eu le courage de finir For ever. Pour toujours ? Pas pour tout le monde !<o:p></o:p>

    J’étais pourtant bien lancée : les deux premiers chapitres sont plutôt drôles, mais cela s’est gâté ensuite : je me suis trop vite ennuyée ! J’ai eu l’impression de tourner en rond très tôt ! Et le style assez passe-partout, mais pas désagréable, de l’écriture ne m’a pas donné envie de continuer le livre…<o:p></o:p>


    votre commentaire
  • <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Petite explication : L’auteur avait choisi de ne faire qu’un seul tome, l’éditeur (Actes Sud pour la France) en a décidé autrement… Et on peut tout de même le remercier car dans les transports en commun, ça fait moins lourd ! [Rien à voir avec la littérature !] Mais puisqu’à l’origine, ils ne faisaient qu’un, je vais les chroniquer ensemble. Et puis, je les lu d’une traite, à la suite, sans relâche !


     <o:p></o:p>

     

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    On retrouve avec plaisir nos deux héros, le brillant Mikael Blomvist et l’énigmatique Lisbeth Salander. Inutile de poser longuement les personnages, tellement forts et envoutants dans le premier tome qu’on s’en souvient comme si l’on venait à peine de les quitter ! Mais eux ont bien changé ! <o:p></o:p>

    Après l’affaire Wennerström Lisbeth et Mickael on repris le cours de leurs vies… Enfin, presque… Mickael est devenu un journaliste très médiatisé, super-héros-super-star, « super Blomvist » ! Tandis Lisbeth profite de la vie et de sa fortune aux quatre coins du globe, en solitaire et dans l’anonymat le plus total. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Jusqu’à ce que les ennuis ne la rattrapent… A son retour, elle est accusée du meurtre des deux collaborateurs avec lesquels Mikael pour le prochain numéro spécial de Milenium. Un sujet très épineux, – comme toujours – le trafic de prostituées. Commence alors une traque acharnée contre une soi-disant lesbienne dépravée, cinglée et hautement dangereuse : Lisbeth !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cette dernière est en fait au centre des deux tomes La fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’un allumette  et La reine dans le palais des courant d’air… On en apprend plus sur son passé, ce qui a fait d’elle ce qu’elle est à présent : une enquêtrice hors pair, un cybergénie asocial, etc…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    J’ai beaucoup aimé ces deux derniers (fatalement, il n’y aura rien d’autre après…) livres de Larsson. L’enquête est encore plus prenante que dans le premier car on connaît bien les personnages et qu’on s’y est attaché. Toujours aussi bien écrit, on a moins de mal à entrer dans l’histoire et à se laisser emporter dans les nombreuses péripéties et retournement de situation. Même si les deux tomes présentent quelques phases « un peu molle » ou un peu moins captivantes, on comprend plusieurs pages plus loin que le ralentissement était voulu par l’auteur – histoire de nous surprendre comme il faut et quand il faut !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Bref, si vous avez apprécié Les hommes qui n’aiment pas les femmes, vous adorerez la suite et fin de la saga devenue culte !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Petit article EVENE sur l’auteur<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>


    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique