• Librement, Tapie, 1998

    En un mot toujours, le second livre de Tapie appelle le lecteur à l’écouter, seul, à ne lire que lui. Sans la foule de journalistes, remplaçant les spotlights TV par la maigre lumière d’un cachot. Sans la jalousie ou la peur de politiciens politiquement corrects et moralement moins corrects.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    « Comme d’habitude », il fait « son Tapie ». On retrouve entre ses lignes l’exubérance, la véhémence naturelle, presque enfantine finalement, qu’on lui a souvent reproché. Car enfin, c’est un enfant injustement – ou du moins trop lourdement – puni qui s’insurge, qui remercie, qui raconte, retrace, avoue, dément… <o:p></o:p>

    Et au-delà de l’égocentrisme, à travers ce récit d’un condamné, ce n’est pas seulement le symbole Tapie qu’on apprend à comprendre, c’est aussi notre société. <o:p></o:p>

    1986 : La réussite, Gagner explique comment accéder au succès. « Ce n’est réussir dans la vie qui importe, c’est réussir sa vie. »<o:p></o:p>

    1998 : L’échec, Librement explique comment ne pas sombrer, même quand on est au plus bas.<o:p></o:p>

    10 ans ont suffit à éliminer Tapie ? Pas sûr… mais pour comprendre le pourquoi du comment Tapie n’est pas mort, il faut lire le livre. Sans ces préjugés et ces a priori qui l’ont souvent desservi et rarement fait taire… <o:p></o:p>

    2008 sera-t-elle l’année du troisième livre ? De la revanche ? Des explications ? Des constats ? <o:p></o:p>

    Il me semble que cette épopée à bien des chances d’avoir une suite. Alors… A suivre !

     

                                                                          LF.<o:p></o:p>


  • Commentaires

    1
    the rock girl
    Dimanche 9 Juillet 2006 à 10:11
    oui je connai Tapie et je l'admire bcp.
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