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La femme du Vième, Douglas Kennedy, 2007
Quatrième de couverture : Quand il débarque à Paris par un froid matin d'hiver, Harry Ricks est au fond du trou. Une récente série de désastres personnels l'ont poussé à quitter précipitamment les États-Unis et la ville Lumière est sa dernière chance de refaire sa vie. Hélas ! La réalité est bien loin des cartes postales. Fauché, échoué au fin fond du Xe arrondissement, logé dans une chambre de bonne crasseuse du faubourg Saint-Martin, notre Américain à Paris a bien du mal à joindre les deux bouts entre un boulot minable et l'hostilité des habitants du quartier. C'est alors qu'il fait la connaissance de Margit, une belle et mystérieuse hongroise. Bientôt, Harry succombe à une passion dévorante pour cette femme sensuelle et plus âgée, à qui il ne tarde pas à raconter tous ses secrets. Sa vie va soudain prendre une tournure inattendue...
Lorsqu’il arrive à Paris, Harry pense ne plus rien avoir à perdre. Sa femme l’a mis à la porte, sa fille lui a tourné le dos, il a perdu son travail, sa « situation professionnelle » et sa crédibilité d’enseignant… La seule chose qui lui reste : son manuscrit encours ! Mais ce n’est pas encore un « auteur publié », loin s’en faut. Bref, un avenir bien noir, bien vide s’offre à lui et il espère que Paris lui donnera l’inspiration créatrice nécessaire à l’écriture de ce livre ambitieux !
C’était sans compter sur les rencontres et les circonstances rapidement aggravantes qui peuplent les Bas-fonds de la capitale Française… Harry Ricks va être au centre de bien plus d’attention que ce qu’il espérait. Ce séjour qui était censé être paisible et ressourçant va vite se transformer en cauchemar… Heureusement, que Margit veille. Elle lui apporte douceur et chaleur, loin des problèmes insolubles auxquels il est confronté. A moins qu’elle ne devienne elle aussi source de soucis…
Bien écrit, l’histoire me semblait plutôt attractive, et pourtant, je me suis vraiment ennuyée à certains moments, comme pour L’homme qui voulait vivre sa vie, alors que le sujet m’intéressait. Verdict : Douglas Kennedy ne fait partie de mes auteurs à lire et relire… tant pis !
PS : si l’une ou l’un d’entre vous peux me conseiller un de ces ouvrages, disons, plus « mouvementé » ou plus classique, je suis quand même preneuse ! Merci !
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Commentaires
Bonjour,
Merci pour tes conseils de lecture. Je crois que j'opterai pour "Cul de sac", que j'ai sur mes étagères depuis un bout de temps... Mais je vais laisser passer plusieurs mois avant de tenter à nouveau de lire D. Kennedy...
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Merci pour tes conseils de lecture. Je crois que j'opterai pour "Cul de sac", que j'ai sur mes étagères depuis un bout de temps... Mais je vais laisser passer plusieurs mois avant de tenter à nouveau de lire D. Kennedy...