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La valse lente des tortues, Katherine Pancol, Roman, 2008
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Quatrième de couverture : Qu'un crocodile aux yeux jaunes ait ou non dévoré son mari Antoine, disparu au Kenya, Joséphine s'en moque désormais. Libre, toujours timide et insatisfaite, elle semble à la recherche de ce grand amour qui ne vient pas. Joséphine ignore tout de la violence du monde, jusqu'au jour où une série de meurtres vient détruire la sérénité bourgeoise de son quartier. Elle-même, prise pour une autre sans doute, échappe de peu à une agression. La présence de Philippe, son beau-frère, qui l'aime et la désire, peut lui faire oublier ces horreurs. Le bonheur est en vue, à condition d'éliminer l'inquiétant Lefloc-Pinel, son voisin d'immeuble, un élégant banquier dont le charme cache bien trop de turpitudes.
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Une valse bien lente et bien tortueuse…<o:p></o:p>
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On retrouve avec joie les héros des Yeux jaunes… et surtout l’anti-héroïne si attachante, Joséphine ! Qu’a-t-elle bien pu devenir depuis la révélation d’Hortense ? Comment Iris a-t-elle fait face à cet affront ? Et Marcel, est-il toujours aussi généreux, émouvant et passionnément amoureux de sa secrétaire ?<o:p></o:p>
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J’ai ouvert ce livre avec un brin de curiosité, enthousiaste à l’idée de retrouver tout ce beau monde… Et j’ai été très déçue ! C’est lent, effectivement, long et assez tortueux. J’avais adoré la façon dont Pancol nous faisait « sauter » d’un univers à un autre, d’un foyer à l’autre, d’un personnage à son contraire… Mais cette fois-ci, ça ne marche pas pour moi... qui avait tant envie de me plonger à nouveau dans la vie de personnages que j’avais trouvé si attachants !
Les situations et les intrigues sont devenues trop tortueuses pour moi et le style n’a pas réussi à me retenir jusqu’au bout…<o:p></o:p>
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