-
Avis à tous ceux qui se trouvent sur Nice !!!
A l'occasion du Printemps des poètes, le Liber Thé aura le plaisir d'accueillir
une lecture collective le 8 mars 2007, entre 16h et 19h
et une séance de dédicace le 9 mars 2007 entre 16h et 19h.
A cette occasion, vous pourrez rencontrer :
Yvette Gazza-Cellario, auteur de Et moi, émois
Coralie Folloni, auteur de Tristesse
Laetitia Marcucci, qui a gagné
le Prix Alain Lefeuvre 2006
pour son recueil A tire d'heures.
Tous ceux qui aiment la poésie
et qui désirent partager un moment de convivialité
autour de la langue française
sont conviés à cet évènement !
Le Liber Thé : 46 Bd Carlone 06200 Nice
votre commentaire -
-
Pour me « détendre » un peu après La Nostalgie de lange et avant La part de lautre, jai opté pour un recueil de nouvelles : Les rêves des autres de John Irving.
Jai beaucoup aimé le premier texte, qui porte le même titre que louvrage. Jai beaucoup moins aimé le second « Un énergumène passe à table ». Et le troisième, « Lespace intérieur » : je ne lai même pas fini ! Javais trop décroché pour pouvoir continuer !
Jespère que je serais plus enthousiasmée par La veuve de papier, qui est dans me liste Challenge ABC 2007
Bref, je me lance de ce pas dans La part de l'autre d'EE Schmitt !
votre commentaire -
Pour me « détendre » un peu après La Nostalgie de lange et avant La part de lautre, jai opté pour un recueil de nouvelles : Les rêves des autres de John Irving.
Jai beaucoup aimé le premier texte, qui porte le même titre que louvrage. Jai beaucoup moins aimé le second « Un énergumène passe à table ». Et le troisième, « Lespace intérieur » : je ne lai même pas fini ! Javais trop décroché pour pouvoir continuer !
Jespère que je serais plus enthousiasmée par La veuve de papier, qui est dans me liste Challenge ABC 2007
Bref, je me lance donc de ce pas dans La part de l'autre, d'EE Schmitt !
votre commentaire -
La Nostalgie de l’ange, Alice Sebold, 2002, Nil éditions.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Susie, la narratrice, est une jeune fille violée et assassinée. C’est elle qui raconte comment sa famille survit à cette terrible épreuve. Elle nous parle de l’amour, des sentiments, de la famille... Mais aussi de l’adolescence et de la vie qu’elle a « perdu ».
C’est une petite fille qui nous raconte le monde avec ses yeux d’enfant. D’enfant mort.
Elle est dans son Paradis, et de « là-haut », elle voit tout, elle nous dit tout et elle essaye de comprendre.
Avec le meurtre, c’est toute la famille qui explose, qui se déchire, qui se retrouve en morceaux, comme le corps de la petite Susie. On s’immisce dans l’intimité d’une famille en plein drame.
On croit avoir lu le pire : le meurtre. Mais le pire, c’est après : l’absence, le manque, l’abandon. Susie suivra des yeux, de « là-haut », sa famille, ses proches, jusqu’à ce qu’ils aillent mieux. Jusqu’à ce que chaque membre de sa tribu guérisse un peu, se regroupe et avance. Et cela prend du temps…
<o:p> </o:p>
Ce livre est bouleversant. Emouvant et intelligent, il nous emporte dans la joie comme dans le désespoir avec subtilité et intensité. L’écriture d’Alice Sebold est délicate et dure à la fois. Elle sait trouver les mots justes, et surtout, les adapter à la situation qu’elle décrit. Les personnages sont mis en scène, incarné de façon très intense. L’auteure n’en fait jamais « trop » ni « trop peu ».
Je me suis sentie comme happée par l’histoire, par le style et par Susie…
S’il me fallait un mot pour qualifier cet ouvrage, ce serait « intense »…
<o:p> </o:p>
<o:p> LF</o:p>
D'autre avis, plus ou moins enthousiastes :
L'avis d'Allie, Les rats de biblio, celui de lilly.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires