• Salut à tous !

    Mon nouveau texte "long" est disponible dans la rubrik "essai".

    Pensez-vous que l'art soit obligé de renvendiquer, de dénoncer, au même titre que les journalistes ? Venez laisser des commentaires ! La discussion est ouverte !

    A bientôt !

    PS : Toutes les autres rubrik sont régulièrement mises à jour !!!


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  • On lui avait dit que la poésie n’était pas pour les gens comme lui… et bien c’est un beau pied de nez à ses détracteurs.

    Les textes de Grand Corps Malade sont magnifiques. A la fois très concret et très rêveur, ce jeune artiste a réussit à me toucher bien au-delà de ce que je pouvais imaginer… Vif, idéaliste, joueur et sincère, sa simplicité et son intelligence nous vont droit au cœur. Il ne se limite pas à décrire les problèmes des jeunes de banlieue et c’est tant mieux.

    Juste ce qu’il faut de musique pour ne pas être lassé et le tour est joué !

    Avis à tous les amateurs de textes et de sens ! Un petit bijou pour les auditeurs lassés par le « même ».

     

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  • <o:p></o:p> 

    L’ouvrage est à la fois un état des lieux de l’art numérique et un essai de philosophie sur les relations entre Art, Technique et Société dans notre XXIé siècle.

                Tout en s’appuyant sur des références très sérieuses en histoire et en théorie de l’art, les auteurs nous livrent leurs visions sur des problématiques aussi variées et larges que le statut de l’art et de l’artiste contemporain, sa relation au monde, sur la place qui lui est donnée dans l’espace public…

                Tantôt optimiste, tantôt amère, L’art numérique ne se contente pas d’exposer, il explore et réfléchit (au deux sens du terme) les changements en cours dans le monde des arts. Ainsi, le lecteur est invité à remettre sa conception de l’art en question. Mais attention, pas n’importe quel lecteur. En effet, il faut savoir que l’ouvrage s’adresse à ceux qui ont déjà de solides notions d’art. Le vocabulaire utilisé, les exemples illustrant les propos et les théories des auteurs nécessite quelques connaissances. Et je crains que sans culture artistique, le lecteur soit déphasé par l’argumentation technique et philosophique de l’ouvrage.

                Néanmoins, certaines parties peuvent donner aux « novices » l’envie d’aller chercher dans les musées, les livres et les sites Web des informations complémentaires et lui permettre d’aborder l’art contemporain avec un regard plus averti.

                                                                                                   LF.

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  • Vous êtes tous accusés, levez-vous.

    L'orateur ne peut vous parler que si vous êtes debout.

    Debout comme pour la Marseillaise,
    debout comme pour l'hymne russe,
    debout comme pour le God save the king,
    debout comme devant le drapeau.

    Enfin debout devant DADA qui représente la vie et
    qui vous accuse de tout aimer par snobisme,
    du moment que cela coûte cher.

    Vous vous êtes tous rassis ?
    Tant mieux, comme cela vous allez m'écouter avec
    plus d'attention.

    Que faites vous ici, parqués comme des huitres sérieuses
    — car vous êtes sérieux n'est-ce pas ?
    Sérieux, sérieux, sérieux jusqu'à la mort.
    La mort est une chose sérieuse, hein ?

    On meurt en héros, ou en idiot ce qui est même chose.
    Le seul mot qui ne soit pas éphémère c'est le mot mort.
    Vous aimez la mort pour les autres.

    A mort, à mort, à mort.
    Il n'y a que l'argent qui ne meurt pas, il part seulement en voyage.

    C'est le Dieu, celui que l'on respecte, le personnage sérieux
    — argent respect des familles. Honneur, honneur à l'argent : l'homme qui a de l'argent est un homme honorable.

    L'honneur s'achête et se vend comme le cul. Le cul,
    le cul représente la vie comme les pommes frites,
    et vous tous qui êtes sérieux, vous sentirez plus mauvais
    que la merde de vache.

    DADA lui ne sent rien, il n'est rien, rien, rien.
    Il est comme vos espoirs : rien.
    comme vos paradis : rien
    comme vos idoles : rien
    comme vos hommes politiques : rien
    comme vos héros : rien
    comme vos artistes : rien
    comme vos religions : rien

    Sifflez, criez, cassez-moi la gueule et puis, et puis ?
    Je vous dirai encore que vous êtes tous des poires.

    Dans trois mois nous vous vendrons, mes amis et moi, nos tableaux pour quelques francs.

    Francis PICABIA.

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