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               Deux enfants rescapés d’un terrible naufrage échouent sur une île bien étrange où les mots occupent une place bien particulière. Parviendront-ils à saisir toute l’importance de leur insolite aventure… ?<o:p></o:p>

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       C’est une jolie histoire, très enfantine et très bien écrite. On se plonge avec plaisir dans ce livre plein de naïveté, de fraicheur et d’intelligence. C’est un tout petit délice pour les amoureux des mots ! Un interlude ludique au pays de la grammaire !<o:p></o:p>

       J’ai été très touchée par cet ouvrage mais pas totalement conquise non plus…<o:p></o:p>

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Tazio est un jeune homme désespéré. Si désespéré qu’il décide de mettre fin à ses jours. Ce n’est pas la première fois qu’il attente à sa vie, mais il est sûr que cette fois, c’est la bonne ! C’est compter sans Zeus Peter Lama, le grand génie de l’art contemporain ! Celui-ci lui propose de le suivre, lui promettant de rendre sa vraie valeur à sa vie. Pour redonner de la saveur à son existence, il lui offre la possibilité de devenir une Œuvre d’art ! Mais une Œuvre d’art dotée d’une conscience, d’une parole et d’émotions n’est-elle qu’une Œuvre d’art ?<o:p></o:p>

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            Le style de Schmitt est encore une fois inventif, agréable et fluide ! Dans ce roman surréaliste très touchant, il explore les réflexions liées à l’art, à « l’état de conscience VS état d’objet »,  à l’importance de l’humanité… Sous couvert de nous raconter une histoire légère et proche de la Science-fiction (par certains aspects seulement), il nous pousse à réfléchir, à nous questionner…<o:p></o:p>

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            J’ai énormément aimé cet ouvrage. Il est intelligent, bien écrit, intéressant… Bref, Schmitt est vraiment en passe de venir une de mes valeurs sûres – alors qu’entre nous, ça avait plutôt mal démarré !

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 D'autres avis

Du même auteur : La part de l'autre, La secte des égoïstes, Variations énigmatiques.

 

 

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            Pascaline, fraichement divorcée, vient de s’installer dans l’appartement de ses rêves… Seul bémol : elle fait des cauchemars horribles, elle ne dort presque plus… Quelque chose se passe ou s’est passé dans sa nouvelle chambre. Effectivement, Pascaline découvre qu’une jeune fille a été sauvagement assassinée, par un tueur en série, dans cette pièce. Elle se donne alors pour objectif « vital » de se plonger dans cette sinistre saga de meurtre. <o:p></o:p>

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            Le style est agréable, assez simple et très imagé. L’histoire, quant à elle, est un peu trop survolée à mon goût. Elle aurait mérité plus d’approfondissement, une exploration de l’angoisse plus fouillée peut-être. Il me semble que cet ouvrage se situe entre le roman et la nouvelle…<o:p></o:p>

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            J’ai apprécié ce livre, mais je n’ai pas eu de « coup de cœur »… Peut-être que mon prochain De Rosnay me passionnera plus !

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La page du livre

Blog de l'auteur

Un autre avis

Quelques avis des rats de biblio !

 

 

 

 

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            L’auteur plante très rapidement le décor, on se laisse emporter sans difficulté dans ce merveilleux roman. La simplicité apparente de l’ouvrage dissimule de grands moments d’intelligence et des réflexions très profondes. On s’attache immédiatement aux deux personnages principaux, qui dissimulent, elles aussi des qualités de cœur et d’esprit déroutantes.<o:p></o:p>

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            Vous l’aurez compris, j’ai vraiment adoré ce livre. Il fait partie de ceux dans lesquels je me replongerai avec plaisir dans quelques années ! (gage de qualité !) C’est un excellent ouvrage, je le conseille à tous les amoureux des mots, de l’art et de la vie… Puisque l’art, c’est la vie !

 

Le site de l'auteur

<o:p>L'avis de Tamara, de Florinette, de Cuné, de Laetitia, d'émjy</o:p>

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L’américain, c’est le surnom qu’on donnait au père de Franz-Olivier. Dans cette courte autobiographie, F-O. G. nous raconte une partie de son enfance et de son adolescence. Il explore sous nos yeux les relations conflictuelles qu’il entretenait avec son père, et l’image qu’il en avait. L’américain battait sa femme et ses enfants. Et le petit Franz-Olivier n’a eu de cesse de lui faire payer ces affronts. Au point même de vouloir le tuer…

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Sans être jamais pleurnichard, FOG nous raconte son histoire. Le style est sobre, distancié, exceptés les rares moments où il se livre complètement. Dans ces instants fugaces, l’auteur se laisse submerger par ses émotions, ce qui enrichit considérablement le style et la densité de l’ouvrage.

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J’ai beaucoup apprécié ce livre intimiste mais jamais mièvre ni ampoulé. Le récit de ce jeune adolescent révolté par le comportement de son père m’a beaucoup touché. On en oublie même que l’auteur est un « personnage public ». L’animateur, le directeur de magazine s’efface pour laisser toute la place à l’auteur meurtri, et le lecteur devient le confident d’un homme qui a souffert et souffre certainement encore…

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