• Mon premier Musso…

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    La quatrième de couverture était assez alléchante :

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    « Lorsque, par une froide soirée d'hiver, Juliette et Sam se croisent en plein cœur de Broadway, c'est le coup de foudre instantané.[…] Mais Juliette doit retourner à Paris. Quant à Sam, il ne sait trouver les mots pour la garder à ses côtés. Du moins, pas assez vite. Car à peine l'avion de la jeune femme a-t-il décollé qu'il explose en plein vol... »

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    Bonne petite histoire d’amour pour commencer l’été. Et puis, comme j’aime Marc Levy et qu’on les compare souvent… je me suis laissée tenter !

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    Et j’ai vraiment eu l’impression de lire un français qui veut faire son américain…mais ça ne colle pas !

    Les romans au style un peu pauvre et aux mots faciles neme dérangent pas plus que ça, tant que l’histoire tient la route et retient mon attention ! (Je sais que cela en afflige plus d’un, mais que voulez vous… !)

    Malheureusement, je n’ai pas trouvé que la trame avait un grand intérêt. Et surtout, les personnages et les situations ne sont pas assez fouillées, pas toujours attractives, à mon goût.

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    Bref, je retenterai peut-être ma chance un jour… mais mon prochain Musso sera un prêt : d’une amie ou de la bibliothèque !

     

     


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    Quel grand moment de lecture ! Il représente maintenant pour moi l’un des meilleurs volume de la mythique série ! C’est l’un des plus riches et peut-être le mieux écrit, le plus fouillé.<o:p></o:p>

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    Dur dur quand même de le commenter sans trop en dire… Donc je préfère être brève !<o:p></o:p>

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    Tous les personnages prennent une dimension nouvelle dans cette toute dernière aventure. Leurs relations se précises, sont de plus en plus fortes et cruciales. On est transporté et enthousiasmés par le talent grandissant de Rowling et l’efficacité inébranlable de son imagination fertile !<o:p></o:p>

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    Je suis trop prosélyte ? Tant pis ! J’ai adoré !!!!<o:p></o:p>

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    Un autre avis, celui de Phil!<o:p></o:p>

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    Assouline se propose de nous conter la vie de Gallimard…

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    Très documenté, l’ouvrage se présente plus comme une étude que comme une biographie. Proche de la biographie historique et très précis, il manque ce petit air de « romance » ou de caractère… ce qui distingue les deux genres, à mon sens.

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    Cependant, Assouline écrit d’une main de maître lorsqu’il devient plus personnel, plus intimiste, finalement. Dommage que ces moments soient si rares…

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    A force de vouloir être au plus près du réel, le plus précis possible, cela gâche un peu le plaisir de lire cette réalité… La lecture devient alors un recueil d’informations, et non un plaisir de voyageur des mots...

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    Dommage que la biographie de l’un des plus grands éditeurs ne soit pas plus « éditoriale », finalement pas assez littéraire…

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    Le mot qui me revient, en y repensant, c’est donc « dommage ! » le cœur et le talent y était, le personnage charismatique aussi, mais je ne me suis pas sentie emportée dans la vie de Gallimard. Néanmoins, je le conseille à tous ceux que l’histoire de l’édition intéresse car il regorge d’informations de premier ordre !

     

     

     

                                                                    

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  • Le rêve américain...à la "American Beauty"...

    Ben Bradford est le winner américain modèle : une vie professionnelle accomplie, un foyer stable : une femme, deux enfants et des rêves abandonnés plein la tête. Des joies, des peurs, des doutes somme toute ordinaires. Des regrets d'artistes avorté et d'époux absent...

    Rien de foncièrement original, mais pourtant assez attachant !

    Jusqu’au jour au « pétage de plomb » aussi pathétique et désordonné que ses envies et ses idées. Commence alors une course contre la montre pour échapper au cauchemar, fuir la réalité et atteindre l’issue la moins douloureuse…

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    Malheureusement, l’histoire commence très tard, à mon goût… Les débuts laborieux de l’ouvrage ont bien failli avoir raison de moi. Et pourtant, j’ai gardé le livre en mai ! Même si la trame du roman est rondement menée et que l’écriture est plutôt agréable, cela traîne et traîne et traîne… en longueur.

     


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  • A force d'attendre... J'ai perdu mon commentaire sur L'homme qui voulait vivre sa vie...
    En voici la quatrième de couverture... En attendant que je retrouve ce foutu bon de papier !
    (moi aussi, avec mes petits bouts de papier idées partout...)
    Bref, tout ce dont je me souviens, c'est une petite déception, trop de lassitude et une lecture un peu difficile (Et dire que j'ai bataillé pour le finir, histoire de faire un commentaire honnête ! Arghhh)


    Quatrième de couverture

    Ben Bradford a réussi. La trentaine, avocat compétent, un beau poste dans l'un des plus grands cabinets de Wall Street, un salaire à l'avenant, une femme et deux fils tout droit sortis d'un catalogue Gap. Sauf que cette vie, Ben la déteste. Il a toujours rêvé d'être photographe. Quand il soupçonne que la froideur de son épouse est moins liée à la dépression postnatale qu'à une aventure extraconjugale, ses doutes reviennent en force, et avec eux la douloureuse impression de s'être fourvoyé. Ses soupçons confirmés, un coup de folie meurtrier fait basculer son existence, l'amenant à endosser une nouvelle identité... De New York aux splendides paysages du Montana, une histoire d'humour et d'émotion, et un héros extraordinairement attachant, prêt à payer le prix pour vivre sa vie. " Bien plus qu'une lecture captivante : en termes émouvants, poignants même, ce roman nous parle aussi des occasions manquées et des vies gâchées [...], du goût amer d'une gloire trop vite acquise et de la douleur d'avoir à quitter ceux qu'on aime. " Publisher's Weekly " Si habilement mené qu'on le dévore, tout en souhaitant qu'il ne finisse jamais. " New York Times " Réussit la difficile prouesse d'être irrésistiblement drôle et terrifiant à la fois. " Independent on Sunday

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